~ wonderland.

✣ **DATE D'ARRIVÉE** : 03/12/2012 ✣ **LETTRES ENVOYÉES** : 13

anouk boergas

"LIFE IS NO NINTENDO GAME."

image @ celebrity-instagram.
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› no light, no light.

prénom(s): anouk › nom(s): boergas › âge: vingt ans › lieu de naissance: amsterdam › statut personnel: non disponible › aisance financière: de famille peu aisée › études/métier: vendeuse dans une sandwicherie › groupe: lego house

› comforting sounds.

→ Anouk n’a que de très brefs souvenirs de son père. Il a quitté sa mère lorsqu’elle avait sept ans et elle ne l’a plus jamais revu. Quelques fois il lui manque. Mais c’est difficile de s’accrocher à quelque chose dont on ne se souvient pas. → Leur situation financière a toujours été quelque peu critique. Elles n’étaient pas pauvres mais elles comptaient tout. Anouk devait se contenter des vêtements de ses cousines devenus trop petits et d’un vieux portable plutôt que le tout dernier à la mode. → Sa mère a toujours répété que l’argent ne fait pas le bonheur mais Anouk pense que ça y contribue largement. → Elle a longtemps rêvé de sa vie si elle pouvait s’offrir tout ce qu’elle désirait, des chaussures de créateurs, des sous-vêtements victoria’s secret, des livres neufs. → C’est une éternelle optimiste. Elle voit du bon partout, en tout le monde, peu importe la situation. → C’est une amie des bêtes, elle regrette toujours la mort prématuré de son poisson rouge Léo qui s’est lui-même donné la mort la semaine dernière. → Anouk travaille à la sandwicherie que sa mère vient d’acheter. Elle avait prévu de reprendre ses études mais sa mère avait besoin d’elle. → On prend souvent Anouk pour une ado, on lui donne rarement plus de dix-sept ans. C’est aussi du à son rire qui carillonne dès qu’il sort de ses lèvres. → La jeune femme apprécie beaucoup l’art, elle-même ne dessine pas trop mal. → Elle adore cuisiner et c’est une pâtissière très douée. → A contrario, elle serait tout bonnement incapable de faire cuire une dinde. → Elle n’a jamais désiré devenir mannequin comme de nombreuses enfants mais chanteuse. C’était son grand rêve. Anouk ne chante pas trop mal, juste au moins mais son timbre n’a rien de particulier. → Elle a beau avoir opté pour quelque chose de réalisable, la musique reste son premier amour. Elle chante constamment, sans même s’en rendre compte parfois. Elle transporte son I-Pod absolument partout. → Anouk possède une très grande mémoire. Elle connait nombre de chansons par cœur et a tendance à ressortir des propos qui datent d’il y a plusieurs mois. Elle n’oublie simplement pas. → Elle se mord la lèvre lorsqu’elle est nerveuse. Elle essaie d’arrêter pour ne pas se trahir mais c’est plus fort qu’elle. → Elle ne ment jamais. Même pour dire que la chemise qu’elle porte est jolie, même pour dire qu’elle va bien si ce n’est pas le cas. Elle dit toujours ce qu’elle pense réellement ou se tait. → Anouk n’est jamais tombée amoureuse et elle est terrifiée à l’idée de succomber un jour. S’abandonner à quelqu’un d’autre lui fait peur a un point inimaginable. → Depuis l’adolescence, elle a remarqué que son corps plaisait au garçon et elle en a pas mal joué. → Elle est très libérée sexuellement, elle accepte beaucoup de choses, de nouvelles expériences, n’a absolument rien contre les coups d’un soir, au contraire. → Anouk apprécie les boites de nuit. Elle aime l’ambiance électrique qui y flotte, la musique qui transporte les gens, l’alcool qui coule à flot…

› hold it against me.

Voici un petit test qui nous permettra d'en savoir un peu plus sur la personnalité de ton personnage. Merci de mettre la réponse choisie en italique.

+ Qu'est-ce qui est le plus important à tes yeux ?
a) l'argent
b) la famille
c) la connaissance
d) l'amour

+ Pour toi, le grand amour c'est ?
a) impossible
b) un mythe
c) ton rêve
d) déjà acquis

+ Ton livre de chevet ce serait quoi ?
a) Jane Eyre (Charlotte Brontë)
b) Fifty Shades of Grey (E.J James)
c) Harry Potter (J.K Rowling)
d) Misery (Stephen King)

+ A tes yeux, l'écologie c'est ?
a) indispensable, la survie de la planète dépend de nous.
b) bien chez les autres, tu ne te sens pas concerné(e).
c) inutile, on est tous foutus.

+ Ton endroit préféré en ville ?
a) le bar du coin, pour l'alcool et la compagnie.
b) le cinéma, pour la culture.
c) ton chez toi, pour le confort.
d) le parc, pour la nature et la tranquilité.

+ Ta chanson idéale ?
a) It's time (Imagine Dragons)
b) Ride (Lana Del rey)
c) Some Nights (FUN)
d) Paradise (Coldplay)

+ Ce que tu as toujours avec toi ?
a) ton portable.
b) ton Ipod.
c) un parfum.
d) des chewing-gum.

+ Dans 5 ans tu te vois ?
a) marié(e) avec des enfants.
b) à la tête de ta société.
c) loin d'ici.
d) heureux tout simplement.

+ L'odeur que tu préfères ?
a) celle des vieux livres.
b) celle des bébés.
c) celle du savon.
d) celle de ton/ta chéri(e).

+ Si tu étais un péché, tu serais ?
a) la colère.
b) la luxure.
c) la gourmandise.
d) l'avarice.

› celebrity skin.

prénom/pseudo: alyson › comment as-tu découvert le forum: andrea m'en a touché deux mots › ton avis: il est tout bonnement délicieux › commentaire, dédicace: écrire ici › avatar: barbara palvin

✣ **DATE D'ARRIVÉE** : 03/12/2012 ✣ **LETTRES ENVOYÉES** : 13

and we fall back into the same patterns, same routine. ←
Elle rêvait d’un ciel étoilé lorsque sa conscience se rappela à elle. C’est presque à regret qu’elle quitta le monde des songes pour revenir à la réalité. Pendant quelques secondes, elle resta simplement allongée, immobile. Quelques secondes de calme, de sérénité. Et la soirée de la veille lui revint en tête, loin d’avoir été calme ou sereine. Elle se rappelait la vodka, la musique, un peu trop électro à son goût et lui. Elle se rappelait vaguement sa tête, beaucoup son portefeuille. Anouk payait rarement ses consommations en boite. C’était un fait, pas une manière de se venter. Ses formes avantageuses lui permettaient de se faire inviter et elle n’était pas trop fière pour refuser. Et en ce vendredi soir cela avait été lui. C’était Bastien. Ou Sébastien ? Bass ? Quelque chose comme ça. Il était sympa. Drôle. Plutôt canon. Elle était rentrée avec lui. N taxi lui semblait-il. C’était assez vague. La légère douleur qui palpitait en son ventre lui indiquait qu’ils n’avaient pas étés sages. Anouk espérait que c’était bien. Mais si elle ne s’en rappelait pas si bien, c’était probablement parce qu’elle n’avait pas rejoint le septième ciel. Elle consentit finalement à soulever ses paupières. Non, ce n’était effectivement ni son lit, ni sa chambre. En constatant qu’il dormait toujours du sommeil du juste, elle quitta doucement le lit et commença à s’habiller. Anouk n’avait jamais la gueule de bois. C’était plutôt une bonne chose compte tenue qu’elle terrassait la plupart de ses amis les lendemains de soirées. Elle aimait cette particularité tout autant qu’elle aimait pouvoir s’esquiver avant leurs réveils. Parce qu’au final ils n’étaient pas grands choses. Elle ne regrettait rien, absolument rien mais ne se faisait pas d’illusion. C’était simplement un coup d’un soir. Elle laissa tout de même un mot pour le remercier pour les verres, le taxi, la nuit et quitta son appartement. Son I-Pod aux oreilles, il passa près de trois chansons avant qu’elle n’arrive à se repérer. Elle n’était pas très loin de chez elle finalement. Anouk espérait que sa mère dorme encore, elle n’aimait pas vraiment la croiser le matin. Au cas où elle acheta deux croissants à la boulangerie en bas de chez elle. A neuf heures pile, elle se faufilait chez elle, ses vêtements froissés, ses cheveux emmêlés, son maquillage défait. Encore un superbe week-end de passé.

don't you take me for anybody, don't confuse me with nobody. ←
- En fait, t’es devenue une prostituée. Accoudée au comptoir, Anouk lança un regard peu amène à son amie avant de reporter son attention sur la rue. Sa mère se sentait de moins en moins bien et elle passait de plus en plus de temps ici. C’était un peu étrange d’ailleurs, de passer de cette modeste sandwicherie à l’univers flamboyant de Cali. De l’ombre à la lumière. - T’as déjà vu une pute vendre un sandwich Saskia ? Elle ne lui en voulait pas vraiment de penser cela. Dès lors qu’elle leur avait expliqué la situation, ils avaient tous convergé vers cette idée ridicule qu’elle se vendait pour de l’argent. Elle comprenait même si quelque part l’idée qu’ils pensent cela d’elle la vexait. - Je l’aime bien. Elle esquissa un sourire à la blonde alors que ses pensées s’aventuraient vers Cali. Cela faisait déjà deux mois. Deux mois qu’elle avait quitté son lit pour celui du brun. Deux mois qu’elle vivait un rêve éveillé, qu’elle croulait sous les marques d’affection, les cadeaux. Elle aimait ça. Elle commençait même à s’y habituer ce qui lui faisait un peu peur. Elle n’était pas stupide. Cali semblait amoureux d’elle pour le moment mais il était riche, elle n’était pas sa seule partenaire sexuelle, il y avait un moment où il finirait par se lasser d’elle. Elle n’avait pas toutes ces manières guindées qu’ont toutes les mannequins ou stars de cinéma. Elle se sentait toujours mal à l’aise de ne pas avoir les prix sur sa carte lorsqu’il l’emmenait dans un grand restaurant ou lorsqu’il lui offrait des Louboutins. Ça avait beau être leur deal, elle ne pouvait s’empêcher de penser au prix, de le comparer à ce qu’elle-même gagnait à la sandwicherie, à tous les sacrifices qu’elle aurait du faire pour s’offrir cette paire sans lui. Mais elle s’habituait. A cette vie. A lui. Jusqu’ici c’était sa plus longue histoire. Elle n’était pas amoureuse. Elle le savait. Elle le sentait mais elle pensait souvent à lui. Elle aimait l’entendre parler de ses nouvelles trouvailles pour sa boutique, sentir sa main dans le creux de son dos pour galamment la diriger. Oui, elle n’était pas amoureuse de Cali Lestafier mais elle avait beaucoup d’affection pour lui. Elle s’attachait. - Oh oh, la terre appelle Anouk. La brune sursauta en se rendant compte qu’elle s’était un moment déconnectée de la réalité. - Hum. Tu disais ? La blonde attrapa un gâteau dans la vitrine qu’elle commença à grignoter et répéta. -Que t’as l’air bien. Heureuse. Oui. Oui, elle l’était. Un grand sourire éclaira son visage tandis qu’elle hochait la tête. Sa vie avait bien changé depuis le jour où il avait fait déposer une bouteille de magnum sur sa table. Ou il avait décrété qu’elle lui appartenait. Et c’était bien. Elle ne voulait de personne d’autre pour le moment. Juste Cali.