let's start with forever (cordy)

cordelia brawks

"EVERYONE MUST BE WONDERING WHY WE TRY"

image @ tellmetofeel.
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› no light, no light.

prénom(s): cordelia, prénom anglais. Choisi par mon père car... en faite, je n'en sais rien. Sûrement car mes parents étaient à Londres lorsque ma mère a accouché. Bliss est mon second prénom. Je ne l'utilise jamais. Je ne sais pas pourquoi il est là à vrai dire. › nom(s): brawks, nom de famille de mon père. Banal. Court. › âge: vingt-cinq ans. › lieu de naissance: je suis née à londres. parce que mes parents étaient en voyage là-bas lorsque les premières contractions se sont fait sentir. › statut personnel: éternel célibataire. être en couple n'est pas fait pour moi. vraiment pas. › aisance financière: j'ai ce qu'il faut, quand il faut. je ne suis ni riche, ni pauvre. › études/métier: photographe, depuis deux ans. › groupe: cosmic love.

› comforting sounds.

Je ne tiens pas en place. Jamais. Depuis toujours je voyage. Lorsque j’étais petite, je voyageais déjà, avec mes parents. Et depuis, je n’ai jamais arrêté. + je collectionne les cartes postales. J’en ai des centaines empilées dans une boîte. + J’ai l’esprit ouvert. J’ai envie de croire aux esprits et aux porte-bonheurs. On peut dire de moi que je suis superstitieuse. + Mes parents sont des hippies dans l’âme. Toujours en décalée avec les autres. Mais je n’en ai jamais eu honte. Au contraire. + Je suis sociable. Et je n’ai pas peur du ridicule. + Je parle souvent toute seule. + Je suis une accroc à la mal bouffe. Il m’arrive de ne me nourrir que de ça. + J’ai la critique facile et une franchise parfois cinglante. Je ne fais pas attention aux phrases qui sortent de ma bouche. Réfléchir avant d’agir n’a jamais été ma devise. + Trompe moi une fois, honte à toi. Trompe-moi deux fois, y’en a pas. Non, je ne donne pas l’occasion à quelqu’un m’ayant blessé de le refaire une nouvelle fois. Je donne facilement ma confiance. Mais je ne suis pas stupide. + Je fuis la vie de couple. Je ne suis pas douée pour ça. Ça implique bien trop de choses comme rester au même endroit. Être prévisible. Devoir dépendre de quelqu’un. Ce n’est pas pour moi. Ces contraintes me font peur. Je préfère les relations sans lendemain qui ne m’offre pas la possibilité de m’attacher. + Je parle plusieurs langues. Ou du moins, j’en ai les bases. + Je suis toujours active. Impossible de rester poser dans un coin à attendre que le temps passe. Non, il faut que je bouge. Que je m’occupe. Impossible de tenir en place. + J’ai toujours quelque chose à manger dans mon sac. Juste au cas où. + J’aime les hommes plus âgés que moi. Ce qui me fait le plus craquer ? S’ils ont un accent. Qu’ils aient un beau cul devient secondaire si l’homme en face de moi à un accent. + J’ai la phobie des clowns. Et des insectes. + Je n’aime pas être seule. + Je change souvent de couleur de cheveux. + Je ne suis pas forcément féminine. Je ne suis pas quelqu’un qui prend soin d’elle. + J’ai toujours détesté l’école, les cours, les études, les devoirs.. Pourtant j’ai terminé l’université avec une bonne moyenne. + Quand je veux quelque chose, généralement, je l’obtiens. Grâce à mon dynamisme parfois pesant, j’arrive à agacer les gens suffisamment pour qu’il cède. + On se moque souvent de moi lorsque j’atchoum, car je fais un bruit aigu. Et bizarre. + J’aime vivre de nouvelle expérience. + Je vis ma vie à fond. Pour ne pas regretter plus tard de ne pas avoir vécu. + J’aime mélanger le sucré et le salé. J’ai de mauvaises habitudes alimentaires. + Je ne suis pas une fan de bouquin. Je m’ennuie souvent dès les dix premières pages. + J’ai toujours des tonnes de bijoux sur moi. Bagues. Colliers. Bracelets. Chaine de cheville. Boucle d’oreilles. Tout y passe. + J’adore la neige. Je m’extasie devant la neige. Je pourrais me marier avec la neige. + Lorsque je suis de mauvaise humeur, vaut mieux que je reste seule. Il en va de même lorsque je suis stressée. Car j’ai tendance à le faire payer à tous. A hausser la voix. Ce qui normalement, ne m’arrive jamais. + J’aime les vieux films. + Dire que je carbure au café, est un euphémisme.

› hold it against me.

Voici un petit test qui nous permettra d'en savoir un peu plus sur la personnalité de ton personnage. Merci de mettre la réponse choisie en italique.

+ Qu'est-ce qui est le plus important à tes yeux ?
a) l'argent
b) la famille
c) la connaissance
d) l'amour

+ Pour toi, le grand amour c'est ?
a) impossible
b) un mythe
c) ton rêve
d) déjà acquis

+ Ton livre de chevet ce serait quoi ?
a) Jane Eyre (Charlotte Brontë)
b) Fifty Shades of Grey (E.J James)
c) Harry Potter (J.K Rowling)
d) Misery (Stephen King)

+ A tes yeux, l'écologie c'est ?
a) indispensable, la survie de la planète dépend de nous.
b) bien chez les autres, tu ne te sens pas concerné(e).
c) inutile, on est tous foutus.

+ Ton endroit préféré en ville ?
a) le bar du coin, pour l'alcool et la compagnie.
b) le cinéma, pour la culture.
c) ton chez toi, pour le confort.
d) le parc, pour la nature et la tranquilité.

+ Ta chanson idéale ?
a) It's time (Imagine Dragons)
b) Ride (Lana Del rey)
c) Call me maybe (Carly Rae Jepsen)
d) Fix you (Coldplay)

+ Ce que tu as toujours avec toi ?
a) ton portable.
b) ton Ipod.
c) un parfum.
d) des chewing-gum.

+ Dans 5 ans tu te vois ?
a) marié(e) avec des enfants.
b) à la tête de ta société.
c) loin d'ici.
d) heureux tout simplement.

+ L'odeur que tu préfères ?
a) celle des vieux livres.
b) celle des bébés.
c) celle du savon.
d) celle de ton/ta chéri(e).

+ Si tu étais un péché, tu serais ?
a) la colère.
b) la luxure.
c) la gourmandise.
d) l'avarice.

› celebrity skin.

prénom/pseudo: tylers, again. ou blandine, comme vous voulez › comment as-tu découvert le forum: j'ai des amis bien placé › ton avis: il est parfait › commentaire, dédicace: je vous aime les filles vous êtes géniales › avatar: mischa barton, sophia bush, leighton meester ou emma stone ?

› never say never.

(∞)

Je pars.. Pardon ? Avachie sur le canapé, je me redresse. D'un coup. N'y croyant pas mes oreilles. Il part. Comment ça il part ? On ne peut pas continuer. Toi et moi. C'était beau. Mais il faut qu'on aille de l'avant. On ne peut pas rester ici. Toi tu veux voyager. Moi je ne veux pas ça. Alors je vais partir. Je bois ses paroles. Mais elles ne semblent pas avoir de sens. Je ne comprends pas pourquoi. Alors tu m'as menti ? Quand on passait nos soirées à imaginer nos voyages, à choisir nos destinations. C'était du vent ? Bien sûr que non. Mais j'ai réfléchi et ce n'est pas réalisable. Mon oncle m'a appelé et il a besoin de moi. Chez lui. J'aurais pu venir avec toi... Je l'aurais voulu. Mais ce n'est pas possible. Tu as besoin de réaliser tes rêves. Je ne veux pas être celui qui t'en empêchera. Mais... Tais-toi. Ne me sort surtout pas le refrain de mais, on peut toujours être amis. Mais on se retrouvera quand tu auras fini. Non, je veux pas entendre ça. Va-t-en. Barres toi. Ne reviens pas, si c'est ce que tu veux. Je suis dur. Peut-être trop. Mais comment réagir autrement. Il me laisse. Seule. Comment pourrais-je réagir autrement. Je veux lui faire mal. Oui, à cet instant précis, je veux juste lui faire aussi mal qu'il me fait mal. Je baisse la tête. Impossible de le regarder dans les yeux. Je ne veux pas qu'il voit l'état dans lequel je suis. Il ne mérite pas de voir les larmes couler le long de mes joues. Il s'approche de moi. M'embrasse sur le front. Ça dure quelques instants. Des instants qui me paraissent être une éternité. Je voudrais le repousser. L'envoyer valser. Mais je ne peux pas. Je n'en ai pas la force. Ma seule envie est qu'il reste là. Avec moi. Qu'il ne parte pas. Qu'il ne m'abandonne pas. Mais sa décision est prise. Et lorsqu'il a quelque chose en tête. Il ne change pas d'avis. Il s'éloigne. Ses lèvres quittent ma peau. Je ne relève pas les yeux. J'entends la porte se refermer. Il est parti. Il est, vraiment, parti. J'inspire profondément. Sans contrôler le tremblement qui émane de je ne sais où. Le flot d'émotion est là. Il est fort. Trop. Je laisse échapper une larme. Puis une autre. Avant de me laisser glisser le long du canapé. Adossé contre, je relève mes jambes contre ma poitrine. Et je me laisse aller. Ce sera la seule fois. Oui. L'unique fois où je m'autoriserais à pleurer. Ce n'est pas moi. Je ne suis pas du genre à me mettre dans tous mes états. Ça n'a jamais été le cas. Mais il est arrivé. Et il a tout chamboulé. Un poil plus âgé que moi. Il m'a tout de suite intrigué. Je ne sais pas pourquoi. Il est bien vite devenu celui dont je ne pouvais pas me passer. Nos points communs nous rapprochaient, nos différences nous complétaient. Deux ans. Ça faisait deux ans. Deux ans qu'il vient juste d'envoyer balader, comme si c'était rien. (...) Je ne pensais pas que tu viendrais... Moi non plus. Non, je ne pensais plus le revoir à vrai dire. Ça fait six mois. Six longs mois qu'il est parti. Qu'il n'a plus donné de nouvelle. Que la vie à reprit son cours, comme si de rien était. C'est long. Très long, sans lui. J'aimais beaucoup ta grand-mère. Je devais venir. Elle t'aimait bien aussi. Elle m'a traité d'imbécile quand je suis parti... C'est bien. Remus encore plus le couteau dans la plaie. Elle n'avait peut-être pas tort. Je suis froide. Impassible. Ne pas lui montrer que j'ai encore mal de son départ. Ne pas lui montrer que la seule chose dont j'ai envie c'est qu'il me prenne dans ses bras. Là tout de suite, maintenant. Non je dois lui montrer que j'ai tourné la page. Que sa présence ne me touche pas. Même si c'est faux. Il se racle la gorge. Il sait qu'il est sur un terrain glissant. Il jette un coup d'oeil par-dessus son épaule. Il sait qu'il ne doit pas être là, à cet instant. Mais il l'est quand même. Ecoute, je sais que tu ne veux plus rien avoir à faire, avec moi. Mais, est-ce qu'on pourrait se voir. Pour se parler. Rejoint-moi ce soir, à vingt heures. Tu sais où. Et il est parti. Me laissant cogiter, seule, sur ce que je vais faire. Bonne question. Que vais-je faire. Aucune idée. (...)Battersea Park. Notre endroit. C'est ici qu'on a passé des heures, lorsque nous étions ensemble. Ici que tout a commencé. Depuis son départ je n'ai pas remis les pieds dans ce parc. Je ne voulais pas me rappeler. Non. Je voulais éviter tous souvenirs me ramenant à lui. Alors j'avais évité ce parc, comme la peste. Et ce soir, je suis là. Assise sur un des nombreux bancs. Mes mains sur mes cuisses font des vas et viens. Je stresse. Ce n'est pas une bonne idée. Je ne devrais pas être là. C'est lui qui est partie. Et maintenant il veut qu'on parle ? Non mais quelle idée. Je ne lui dois rien. Je me lève. Prête à partir. Mais il est là. En face de moi. Il sourit en se rapprochant. Je suis content que tu sois là. J'allais partir.. Il va s'asseoir où je l'étais, il y a quelques secondes. Et je reprends ma place initiale. Me tournant vers lui. Ce parc est toujours aussi beau. C'est vrai.. Qu'est-ce que tu veux Bram ? Pourquoi tu as voulu me parler ? Tu ne crois pas qu'on s'est tout dit ? Je voudrais arranger les choses. Que tu m'en veuilles me rend malade. On était amis avant d'être un couple. Et on s'est toujours dit que si un jour, notre couple se terminait, on n'arrêterait pas pour autant d'être amis. Il marque une pause et détourne le regard. Durant un instant. Un court instant, où mes yeux ne le quittent pas. Ils l'examinent sous toutes les coutures. Pour réapprendre chaque trait de ce visage qu'ils ont imprimé. Je l'écoute d'une oreille attentive. Il veut qu'on soit amis. Comme si tout ce qu'on a vécu n'a pas existé. Ne compte pas. Pourtant, je t'ai appelé. Souvent. Tu n'as pas répondu. Je t'ai laissé du temps. Parce que tu dois m'en vouloir. C'est normal. Mais tu.. Il se stoppe. Net. Comme si les prochains mots ne peuvent pas sortir de sa bouche. N'être plus qu'une amie. C'est ce qu'il veut. Je peux apprendre à n'être plus que ça. Sans réfléchir, j'enroule mes bras autour de ses épaules. J'enfonce ma tête au creux de sa nuque. Alors que je sens ses bras, s'enrouler autour de ma taille, je respire son parfum. J'ai rêvé de le revoir des dizaines, et des dizaines de fois. A chaque fois, je l'envoyais valser. Mais là, en face de moi. Je ne peux pas. Ce n'est pas envisageable. En face de lui, je perds mes moyens. J'oublis de réfléchir avec ma tête. Oui, en face de lui, c'est à mon coeur que ma bouche obéit. Tu m'as manqué aussi. . Dire le contraire serait un tel mensonge. Si pour qu'il reste dans ma vie, je ne dois être qu'une amie. Alors une simple amie, je serais.
Surprise ! Me voilà, euphorique. Devant sa porte. Trois ans. Déjà. Oui, ça fait trois ans que mes yeux n'ont pas croisés les siens. Trois ans, c'est long. Très long. Pourtant en le voyant, là devant moi, je n'ai pas l'impression que le temps a passée. Ses traits sont toujours les mêmes. Ses yeux, sa bouche. Tout est identique. Cordelia ? Qu'est-ce que tu fais là ? Moi aussi, je suis ravie de te voir Bram. Ni une, ni deux, je me retrouve dans ses bras. Ses bras que je connais si bien. Que j'ai visité plus d'une fois. Bien sûr que ça me fait plaisir de te voir. C'est juste que .. Waw toi, ici à Amsterdam. A force que tu m'en parles dans tes lettres, je me suis dit pourquoi pas. Et donc me voilà. C'est bon de te voir. Me dit-il. Avec son sourire m'ayant toujours fait craquer. Ce sourire que j'ai tant de fois essayé d'oublier. Dans les bras d'autres hommes. Des hommes de passage. Qui ne m'ont rien apporté. Je suis restée sur mes positions. L'amour, c'est fini. Je ne prendrais pas le risque de souffrir. Encore. Je ne le supporterais pas. C'est bon de te voir aussi. Je n'arrive pas à croire que ça fait déjà trois ans. Ça fait longtemps, c'est vrai. Mais j'ai suivi tes aventures grâce à tes cartes. Je t'avais promis de te faire rêver en voyageant. Tu as très bien réussi. Tant mieux alors. J'ai voyagé. Beaucoup. Déménager environ six fois. Rester au même endroit, je n'y suis pas arrivée. Je n'ai pas encore trouvé la ville qui me donnera envie de planter ma tante. Définitivement. Alors je profite. Visitant toujours plus d'endroit. Des endroits merveilleux. Où j'ai rencontré tellement de personnes différentes. Où j'ai appris de nouvelles choses, toujours plus impressionnante les unes que les autres. En me réconciliant avec Bram, je me suis promis que notre rupture ne devait pas être arrivée pour rien. Elle devait servir à quelque chose. Alors il m'a fait promettre de le faire rêver. De voyager pour nous deux. Je l'ai fait. Nous avons gardé contact. Par lettre, par téléphone, par internet. Tous les moyens étaient bons pour maintenir notre amitié. Mais l'entretenir quand des milliers de kilomètres nous séparent c'est dur. Vraiment très dur. Et je suis une mauvaise amie. Car il n'a pas pour autant quitter mes pensées. Je dois me forcer à ne plus penser à lui autrement que comme un ami. C'est ce que je me dis. Tous les jours. En vain. Un jour, peut-être, cela rentrera dans ma tête et surtout, dans mon coeur. Mon coeur qui est encore en manque de lui. Qui pleure toujours son absence. Qui continue à battre au son de sa voix. Qui se sert lorsqu'il l'aperçoit. Stupide coeur. Stupide fille. S'accrocher à quelqu'un qui vous a déjà rejeté est stupide. Peut-être pas.